agenda
Rétrospective des photographies et dessins de Joël Peter Witkin, de 2010 à 2025.
Depuis plus de cinq décennies, Joel-Peter Witkin est l'un des artistes les plus influents qui ont propulsé la photographie au premier plan des arts visuels. Ses images mises en scène et son travail minutieux sur les tirages brouillent les frontières entre la photographie et la peinture, entre le document et la scène. Cette sélection d'œuvres réalisées entre 2010 et 2025 représente une synthèse tardive de cette approche, une intersection réfléchie des genres qui ne conduit pas à un coup d'oeil rapide, mais à une lecture lente de l'image.
À l'affiche
Moderne Art Fair 2025
Pascal BERTHOUD,
Karen FARKAS,
Elissa MARCHAL
Cette année, la galerie baudoin lebon célèbre le noir et blanc à Moderne Art Fair.
Le stand mettra en regard les sculptures en aluminium de Pascal Berthoud et les tableaux noirs d'Elissa Marshall, dans un dialogue entre matière et lumière.
Un mur d'œuvres sur papier – mine de plomb, crayon, fusain – réunira des artistes de Utrillo à Dubuffet, de Michaux à Karen Farkas, pour un pêle-mêle monochrome où se rencontrent les styles et les époques.
À l'affiche
Picasso, les 156 - Dernières gravures
baudoin lebon est commissaire de l'exposition sur l'ultime série gravée par Picasso juste avant sa mort. Cette exposition, qui se tient du 15 octobre 2025 au 4 janvier 2026, met en lumière une sélection exceptionnelle de gravures, présentées pour la deuxième fois en France depuis 1973.
La Suite 156 a été réalisée entre 1970 et 1972 par Picasso, alors qu'il a près de 90 ans !
Ultime série gravée, elle est exceptionnelle à plus d'un titre : par son ampleur, sa cohérence, sa charge émotionnelle et sa liberté formelle. C'est cette œuvre crépusculaire et pourtant lumineuse, montrée une seule fois du vivant de l'artiste, que cette exposition souhaite faire découvrir.
La série aborde des thèmes constants chez Picasso : le nu, l'atelier, le regard, les personnages costumés ou grotesques. L'usage du noir et blanc, la simplification des formes, l'énergie du trait traduisent une urgence : celle de dire, de laisser une empreinte, non plus pour le monde, mais pour soi.





